Conférences

Nous organisons plusieurs conférences par an (en français). Elles sont suivies d’un échange auquel le public est chaudement invité à participer.
— Activité comprise dans l’option ‘conférences’. Pour les autres adhérents l’entrée est fixée à 5€ . Pour les non adhérents, 7€ —

 


Programme 2023/24


Rencontre avec Alberto Toscano autour de son dernier livre  Camarade Balabanoff. Vie et luttes de la grand-mère du socialisme (éditions Armand Colin), en collaboration avec la librairie La Machine à Lire de Bordeaux.

Vendredi 24 mai à 18h30 à la Machine à Lire (place du parlement). La rencontre sera animée par le professeur Marc Agostino. Toutes les informations ici.

 

 


Programme 2022/23


“Les rivières et les lacs d’Italie : Témoignages des changements climatiques” par Maurizio Sonnino, professeur à l’Université de la Calabre. La conférence sera suivie d’une table ronde.

Mardi 6 décembre à 18h30 à l’Amphithéâtre du B6, allée Saint Hilaire (Tram B, arrêt François Borne). Conférence organisée en collaboration avec l’association Cap Terre et l’Université de Bordeaux.


Certains grands lacs italiens (Lac Majeur, Lac de Côme) doivent leur existence à des crises climatiques qui ont eu lieu il y a des millions d’années tandis que d’autres, comme le lac d’Alleghe, se sont formés très récemment. Le cours d’importants fleuves italiens s’est trouvé modifié durant les mille dernières années soit par des interventions anthropiques (Fleuve Arno) soit par des processus géologiques à l’échelle mondiale (Fleuve Pô).

Maurizio Sonnino a étudié la géologie à l’université de Turin. Jusqu’en 1983 il a été consultant auprès de sociétés pétrolières et minières, en Espagne, France, Argentine, Benin, Italie. De 1983 à 2018 il a enseigné les sciences géologiques à l’Università della Calabria (Italie). Les domaines de ses recherches sont la stratigraphie et sédimentologie et la divulgation et didactique des sciences de la Terre. Il est auteur de plus de 100 publications scientifiques.

 

 


Programme 2021/22


“Raphaël. Le parcours artistique du maître de la Renaissance italienne et sa fortune en France”, Novella Franco.
Jeudi 3 février à 18h30 à l’Athénée Municipal de Bordeaux.


→ Novella Franco est historienne de l’art et doctorante à l’École nationale des chartes de Paris. Elle débute des études en histoire de l’art à l’université de Rome “La Sapienza”. Elle intègre ensuite l’École du Louvre, où elle commence à se consacrer à l’art de Raphaël. Après une expérience au Musée du Louvre et au Cabinet d’expertise Turquin de Paris, elle travaille, à l’occasion du 500e anniversaire de la mort de Raphaël, au Château de Chantilly ainsi qu’aux Scuderie del Quirinale de Rome aux expositions célébrant l’artiste italien en 2020. Suite à l’obtention d’un second Master en Italie, elle collabore actuellement avec une galerie bordelaise. Dans le cadre de sa thèse de doctorat, elle poursuit ses recherches sur Raphaël, notamment sur sa fortune en France.

 


“Quand le feu côtoie la glace, Focus sur la communauté italienne de Montréal”, Claude Ader-Martin
J
eudi 13 janvier à 18h30 au château de Thouars à Talence


L’émigration est un phénomène majeur de l’histoire de la péninsule italienne. En un siècle, près de 30 millions d’Italiens ont quitté leur pays. Un tiers d’entre eux s’est expatrié au Nouveau Monde : Etats-Unis, Argentine, Brésil, Canada, y portant les valeurs et traditions qu’ils ont mis en relation avec leurs pays d’arrivée. Focus sur la communauté italienne de Montréal, sa résilience et son dynamisme souvent mis à rude épreuve jusqu’à nos jours.

Claude Ader-Martin, journaliste indépendante, a travaillé pour la presse quotidienne régionale et la presse professionnelle nationale. En 2003 elle cosigne « Ile de ré » aux éditions Pêcheur d’images et en 2005 « De Rochefort à La Rochelle, entre mers et marais » publié par Elytis. Cet éditeur bordelais l’accompagne en 2008 avec la parution de « Pour quelques arpents de glace », évocation de la création de la Nouvelle-France. Le cinquantième anniversaire du jumelage entre Bordeaux et Québec en 2012 l’amène à travailler sur l’histoire de ces deux villes. « Bordeaux Québec, regards croisés ». En 2017, à l’occasion du 375ème anniversaire de la ville de Montréal, elle publie en ligne, « Montréal, couleurs plurielles » chez Librinova. Elle est par ailleurs porte-parole d’Aquitaine Québec & Amérique du nord Francophone, association qui tisse des liens entre notre région et les francophones du continent nord-américain.

 

 


Programme 2020/21


“Teatro alla Scala. Une architecture entre passé et présent”, Ingrid Raymond
Mercredi 21 octobre à 19h00, Athénée Municipal de Bordeaux


→ Ingrid Raymond. Diplômée des Universités de Bordeaux (histoire de l’art), Pise et Rome (mediazione cuturale nei musei), Ingrid Raymond est plasticienne de formation, historienne de l’art spécialisée en art antique, médiateur culturel et guide conférencière nationale. Elle est passionnée par la découverte des patrimoines et des cultures et aime l’Italie de façon inconditionnée.

 


Programme 2019/20


“Musiques dans l’Italie fasciste (1922-1943)”, Michela Niccolai
31 janvier à 19h00 à l’athénée Municipal de Bordeaux


Plus de vingt ans séparent la marche sur Rome (1922) de la chute de Mussolini (1943), au cours desquels les instances politiques et culturelles de l’Italie sont refondées. Dans le domaine musical, les conséquences du fascisme s’avèrent décisives : ambivalent à l’égard de la modernité européenne, désireux d’exalter la nation et ses mythes, le régime suscite d’abord l’intérêt de compositeurs en quête d’unité et de récit national. Aviateurs et tyrans de la Rome antique hantent alors les scènes d’opéra, tandis que musiques de film et chansons se font l’écho des conquêtes coloniales.
Ni les musiques savantes ni les genres populaires ne sont étrangers au fascisme : sans imposer de canons esthétiques, le régime accompagne la reforme des conservatoires et subventionne des événement majeurs tels la Biennale de Venise ou le Mai musical florentin. Si l’attitude des musiciens est dominée par une profonde ambiguïté liée aux contraintes imposées par l’État, pour la jeune génération, néanmoins, celle de Dallapiccola et de Petrassi, l’adoption des lois antisémites constitue une rupture existentielle dont des œuvres telles que Le Prisonnier portent trace.
Entre analyse de trajectoires individuelles, mise en perspective de genres musicaux, focus sur des œuvres emblématiques, le présent ouvrage évoque une nation fascinée puis déchirée par le totalitarisme mussolinien.

→ Michela Niccolai Après un double cursus de doctorat en Musicologie à Crémone et à Saint-Étienne, Michela Niccolai a effectué deux post-doctorats à l’Université de Pavie et à l’Université de Montréal. Elle enseigne à l’Université Paris 4 et à Paris 3 et est membre associé au laboratoire IHRIM (Lyon2) et au LaM (ULB, Bruxelles).


“Elsa Morante: fragile et rebelle”, Delphine Gachet
Jeudi 5 décembre à 19h à l’Athénée municipal de Bordeaux


Conférence en français avec lecture de textes en italien.

Écrivain, poète, essayiste, Elsa Morante (1912-1985) est une des voix les plus complexes et les plus originales de la littérature italienne du XXème siècle. Personnalité complexe, rebelle, secrète, elle est l’autrice de nombreuses œuvres dont la diversité et particularité ont désorienté la critique littéraire. Son style unique, baroque et splendide est au service d’une poétique très personnelle où la relation avec l’imaginaire a un rôle essentiel.

→ Delphine Gachet est maître de conférences à l’université Bordeaux-Montaigne et traductrice de littérature italienne contemporaine (Buzzati, Dazieri, Mazzantini, Crepax…).


Programme 2018/19


“Pasolini et les lucioles”, Monique Moulia
16 mai à 19h00, Musée du vin et de la vigne de Gradignan.


Les lumières intermittentes des lucioles, Pasolini les a contemplées avec émerveillement dans sa jeunesse… Sa vie et son œuvre n’ont-elles pas été une quête et une célébration de ce qu’elles signifiaient ? Il a ensuite assisté avec rage et désespoir à la disparition des lucioles…
Ce thème des lucioles fait aujourd’hui écho pour nous, existentiellement, poétiquement et politiquement, dans “la forêt obscure” de notre temps.
En évoquant quelques pages de son œuvre de prose et de poésie, quelques images de son cinéma, on voudrait s’approcher un peu des signes lumineux que Pier Paolo Pasolini continue à nous envoyer à travers ce thème des lucioles.

Monique Moulia est professeur de lettres et cinéphile. Elle a dispensé des cours de cinéma à l’université populaire des Hauts-de-Garonne et au cinéma Jean Eustache.

 


“L’arte povera”, Didier Semin
15 janvier à 19h, Athénée Municipal de Bordeaux


En 1967, différents manifestes annoncent la naissance de l’Arte Povera. L’exposition et l’article de Germano Celant inscrivent d’emblée le mouvement à la croisée des disciplines, faisant autant référence aux arts plastiques qu’au cinéma ou au théâtre. L’Arte Povera se caractérise par la simplicité du geste créateur et la mise en évidence d’une matière dépouillée. Les matériaux utilisés par les artistes sont souvent naturels ou de récupération.
Cette forme de recyclage tient moins d’un credo que d’une attention portée aux traces, aux reliefs et aux plus élémentaires manifestations de la vie (source).

Didier Semin a fait des études d’histoire de l’art à l’université de Strasbourg. Après sa maîtrise, il a occupé successivement les fonctions de chargé des expositions à la Maison de la Culture de Saint-Étienne, puis de conservateur, au musée des Sables-d’Olonne, au musée d’Art moderne de la Ville de Paris et enfin au Centre Pompidou – musée national d’Art moderne, où il était chargé de la collection contemporaine jusqu’en 1998.
Il enseigne aux Beaux-Arts de Paris depuis 1999, il y est responsable des études depuis 2015.
Il a assuré le commissariat de nombreuses expositions monographiques ou thématiques, notamment : Gilles Aillaud (à Saint-Étienne), Jean-Luc Vilmouth, Robert Combas, Alain Fleischer, Alberto Savinio, Glen Baxter, François Dufrêne (Musée de l’Abbaye Sainte-Croix des Sables-d’Olonne), Sophie Taeuber (Musée d’Art moderne de la Ville de Paris), Martial Raysse (Galerie nationale du Jeu de Paume), Wolfgang Laib, Victor Brauner (au Centre Pompidou), Victor Brauner ou l’enchantement surréaliste (Fondation de l’Hermitage, Lausanne). Il a cosigné avec Georges Didi-Huberman l’exposition L’Empreinte au Centre Pompidou en 1997. (source Beaux Arts Paris)

 


“Retour vers le futur. Boccioni et le mouvement futuriste”, Ingrid Raymond
19 octobre à 19h00, Athénée Municipal de Bordeaux.


Le mouvement futuriste est un mouvement esthétique et littéraire du début du XXème siècle qui parcourt l’Europe d’avant la Première Guerre mondiale, entre deux pôles privilégiés, l’Italie et la Russie. Il est, pour l’essentiel, une réaction aux formes surannées de sensibilité et d’expression qui persistent au milieu du bouleversement de la société du début du XXème siècle : les phénomènes de masse, la ville industrielle, le développement du machinisme, la vitesse qui transforme la conception de l’espace et du temps ne sont traduits ni par les symbolistes, ni par les décadents, ni par les esthétiques néoclassiques (Larousse).

Umberto Boccioni (Reggio Calabria, 19 ottobre 1882 – Chievo, 17 agosto 1916) è stato un pittore e scultore italiano, esponente di spicco del futurismo. L’idea di rappresentare visivamente il movimento e la sua ricerca sui rapporti tra oggetto e spazio hanno influenzato fortemente le sorti della pittura e della scultura del XX secolo (Wikipedia).

Umberto Boccioni ; La Charge des lanciers, 1915, Museo del Novecento, Milan

Ingrid Raymond est guide-conférencière régionale VPAH, diplômée de l’Université de Bordeaux (histoire de l’art) et de Rome (mediazione culturale nei musei)

 


Programme 2017/18


“Aimé Maeght et Alberto Giacometti, vingt ans d’amitié”, Yoyo Maeght
19 janvier à 19h, Bordeaux Saint Augustin.


Yoyo Maeght analyse et raconte l’histoire et la vie de son grand-père, Aimé Maeght, un petit gosse du Nord, orphelin de la guerre de 14-18 qui devient l’ami des plus grands artistes du XXe siècle, mais aussi l’un des plus importants marchands d’art au monde puis créateur de la Fondation Maeght à Saint-Paul-de-Vence. Dans le prolongement de son livre La Saga Maeght, éditions Robert Laffont, Yoyo Maeght fait entrer le lecteur dans l’intimité des artistes et propose une conférence où elle décrit l’épopée Maeght, de 1930 à aujourd’hui, avec les rencontres, les artistes, les audaces, les drames, les projets et les réalisations. Ses recherches et sa passion ont formé son regard et lui permettent de livrer une analyse exigeante sur cette aventure hors normes. Alberto Giacometti a été l’ami d’Aimé Maeght de 1946 à 1966 – 20 ans d’amitié.

A l’issue de la conférence, dédicace des livres de Yoyo Maeght dont “La Saga Maeght”.



“Venise : derrière le masque, les mille visages d’une ville unique”, Delphine Gachet et Alessandro Scarsella : ”
12 octobre à 19h00 salle Bordeaux Saint Augustin


Fruit du travail conjoint de collaborateurs français et italiens venus d’horizons différents, l’ouvrage VENISE, Histoire, Promenades, Anthologie et Dictionnaire nous plonge au cœur de cette ville mythique en l’abordant sous tous ses aspects au fil d’une exploration minutieuse et originale qui contredit bien des clichés sans altérer sa légende. La ville de l’amour, de la séduction, de la sensualité, mais aussi le symbole de la fin du monde. Au gré des textes qu’il propose, cet ouvrage d’une ampleur sans équivalent permet d’accéder à une connaissance à la fois réaliste et intime de la vie vénitienne.

Delphine Gachet est maître de conférences à l’université Bordeaux-Montaigne et traductrice de littérature italienne contemporaine (Buzzati, Dazieri, Mazzantini, Crepax…).

Alessandro Scarsella est critique littéraire. Il enseigne la littérature comparée à l’université Ca’ Foscari de Venise, après avoir travaillé à la bibliothèque Marciana.

 


Programme 2016/2017


“L’italiano è in pericolo?”, Claudio Marazzini
Vendredi 12 mai à 18h30 à l’Athénée Municipal de Bordeaux.


 


“De Fontainebleau aux montagnes de la Versilia, Filadelfo Simi, l’âme française d’un peintre toscan Filadelfo Simi”, Claudia Buratti et Christina Salvatori avec projection d’une interview de Alba Tiberto Beluffi
le 13 mars, à 18h30, Athénée Municipal de Bordeaux.


Filadelfo Simi nait à Levigliani, petit village de la Haute Versilia, le 11 février 1849. Il montre, depuis l’enfance, une attitude prononcée et naturelle pour le dessein et fréquente, avec la bienveillance de ses parents, l’Ecole de “Belle Arti” de Saravezza. Plus tard, grâce au soutient du mecène Angiolo Vegni, il poursuit ses études à Florence et, en 1873, obtient le diplôme de l’Académie de “Belle Arti”.

En 1874 il se rend à Paris où sera elève de Jean Léon Gerome. Dans la ville française, il connaitra Jules Bastien Lepage et travaillera à une importante peinture “Sera d’inverno nella foresta di Fontainebleau” obtenant les faveurs du public et de la critique non seulement en France. En 1876 il effectue un voyage en Espagne au cours duquel il peindra de nombreux tableaux et qui sera connu comme “La période espagnole”. En 1878 Simi rentre en Italie et va vivre en Ombrie et ensuite à Florence où se consacrera à l’enseignement et créera une école de peinture. A partir de 1883 Filadelfo Simi va recevoir une série de reconnaissances et prix comme la medaille d’or à la troisième Exposition Artistique Internationale de Monaco. Il meurt à Florence le 5 janvier 1923 à cause d’un infartus. Filadelfo Simi, bien qu’ayant choisi de vivre à Florence, n’a jamais oublié sa région natale, la Haute Versilia où il a fait construire une maison/étude à Stazzema. Dans cette maison, il passera presque tous les étés et peindra beaucoup de ses chefs d’ouevres.

Claudia Buratti est avocat, passionnée par l’histoire, la littérature et l’art. Elle a participé à plusieurs conférences sur le crime de guerre perpetré en ’44 à S. Anna de Stazzema (Toscane) : à Berlin, Essen et Bordeaux. Dans la ville française, madame Buratti a aussi collaboré à une manifestation sur la poétesse italienne Alda Merini. Elle vit plongée dans les livres de droit, des expositions et de textes dediés aux Impressionistes et aux peintres Macchiaioli.

Cristina Salvatori. Née à Forte dei Marmi, elle a travaillé longtemps dans le secteur touristique de la Haute Versilia cultivant en parallèle un grand intérêt pour l’art. Collectionneuse passionnée et specialiste de la peinture du XIX siècle italien, elle s’est tournée, depuis quelques années, vers la juste valorisation de la figure et de l’oeuvre de Filadelfo Simi. Récemment, elle a été promotrice et organisatrice du colloque “Filadelfo Simi, l’artiste, l’homme, sa terre et ses gens” aux Scuderie Granducali de Seravezza.

Alba Tiberio Beluffi. Alba Tiberio, diplômée en lettres classique, a enseigné à Milan, sa ville. En 1989 elle a publié un ouvrage sur l’étimologie de la langue (Il gioco del linguaggio, Pisa, casa editrice Giardini). Après son mariage avec Max Beluffi, elle a démenagé en Versilia où elle a ouvert une galérie d’art. Pendant son activité de galériste, frappée par certaines peintures de Filadelfo Simi, madame Beluffi a publié une monographie illustrée (Filadelfo Simi, un uomo, un artista, Pisa, Pacini editore 1996). Elle a écrit aussi le texte d’un documentaire qui porte le même titre que la monographie et qui a été projecté à Paris.

 


“Présidence et présidents de la République italienne de 1948 à 2015”, Marc Agostino
8 décembre à 18h30 à l’Athénée municipal de Bordeaux.


Marc Agostino est historien, professeur émérite d’histoire contemporaine à l’Université Michel de Montaigne Bordeaux 3.

 


Programme 2015/2016


Conférence de Michele Borsatti “Le malheureux pays de l’espérance : l’Italie dans la Divine Comédie de Dante”, à Talence le 19 novembre à 19h00, dans la salle polyvalente du Dôme.


Il y a 750 ans, à Florence, naissait Dante Alighieri, père de la langue italienne. Auteur de la Divine Comédie qui l’a fait connaitre dans le monde entier, Dante a écrit beaucoup d’oeuvres et analysé des sujets avec grande clairvoyance, si bien que ses écrits, malgré les siècles, sont d’une grande richesse pour comprendre la réalité actuelle. L’association Notre Italie a voulu célébrer cette circonstance en vous proposant une conférence du professeur Michele Borsatti, que nous avons connu lors de notre voyage à Ravenne et qui nous fait l’honneur d’accepter notre invitation.

Michele Borsatti (Ferrare 1971) enseigne des disciplines humanistes dans les lycées depuis 1998. Après des études en lettres classiques et philosophie, il s’est perfectionné sur la Renaissance italienne. De 1991 à 2002 il a collaboré en qualité de publiciste avec le journal « Il Resto del Carlino » et, de 2010 à 2014, avec la revue « Rassegna dell’autonomia scolastica ». Il a travaillé aussi pour la maison d’édition Palumbo et il est un des auteurs du texte « Opre gentili e amore intellettivo » sur un siècle d’instruction magistrale à Ferrare. A l’occasion du bicentenaire de la naissance de Giuseppe Verdi et de Richard Wagner (2013), il a écrit l’essai « La battaglia prosegue » sur le rapport entre la musique et la littérature entre le XIX et le XX siècles. Actuellement il enseigne les matières littéraires et le latin au lycée Dante Alighieri de Ravenna en particulier dans le lycée linguistique italo-français EsaBac.

 


Conférence de Salvatore Caputo “En attendant le Simone Boccanegra de G. Verdi au Grand Théâtre de Bordeaux” le 14 janvier à 19h00 à l’Ecomusée du vin et de la vigne” de Gradignan ( La conférence sera suivie d’un apéritif italien).


L’opéra Simone Boccanegra, oeuvre, en trois actes, de Giuseppe Verdi sur un livret de Francesco Maria Piave d’après une pièce de Antonio Garcia Gutierrez, fut cré, au Théâtre de la Fenice à Venise, en 1857. L’ntrigue, dans laquelle ne manquent pas les passages mélancoliques, est d’une grande force. Elle se déroule dans la République de Gênes au cours du XIV siècle.

Salvatore Caputo, après le Théâtre de Florence (2000-2004), le Théâtre Colon de Buenos Aires (2004-2009) et le Théâtre San Carlo de Naples, devient chef de Choeur de l’Opéra National de Bordeaux. Nous avons l’honneur et le plaisir de l’accueillir dans le cadre de notre cycle de conférences et le remercions d’avoir accepté, avec beaucoup de simplicité, notre invitation.

 


Conférence de Maurizio Sonnino “Les tremblements de terre en italie”, Athénée Municipal de Bordeaux, le 3 juin à 19h00.


Maurizio est déjà venu à Bordeaux nous parler de l’histoire géologique de l’Italie et, l’année dernière, du marbre de Carrare. Nous avions été enchantés par par la richesse des informations et par ses explications, à la portées de tous. Alors, nous lui avons demandé s’il avait envie de revenir. Il n’a pas hésité un instant et nous le remercions beaucoup car, malgré son travail de recherche, il arrive toujours à trouver un peu de temps pour l’association.

Cette année, il nous parlera des tremblements de terre, très nombreux un peu partout dans la péninsule. Des phénomènes naturels certes, mais qui peuvent prendre des proportions dévastantes, que l’homme n’arrive pas à maitriser.

Maurizio Sonnino, après ses études en géologie à l’Université de Turin, a travaillé pour plusieurs sociétés en Italie et à l’étranger (Espagne, Argentine, Mali, Ethiopie). Il a été professeur sous contrat et chercheur et, depuis 2008, il est Maître de Conférence en sédimentologie et géologie à l’Université de la Calabre.

 


Programme 2014/2015


Conférence de Anne-Sophie Dinant – La Biennale de Venise – 56ème édition, 2015, à Talence le 11 juin à 19h00, espace François Mauriac (rue du professeur Arnozan).


Cette conférence présentera un aperçu de la biennale de Venise réalisée sous le commissariat de Okwui Enwezor.

Diplômée en histoire de l’art, Anne-Sophie Dinant est curatrice indépendante. Elle a été commissaire associée à la South London Gallery de 2007 à 2012 où elle a dirigé le programme de films et de performances. Ses projets récents en tant que commissaire invitée incluent entre autres L’Ecran: Entre ici et ailleurs, CAPC musée d’art contemporain de Bordeaux (janvier 2014-janvier 2015), For as Long as You Like, Gaudel de Stampa, Paris (mars-avril 2014) . Elle écrit régulièrement des textes pour des livres d’artistes et des revues d’art spécialisées.


Conférence de Laura Brizi le 5 mars à 18h30 à l’Athénée Municipal de Bordeaux : Sabaudia 1934, le rêve d’une ville nouvelle.


Sabaudia, qui fit partie du projet d’aménagement des Marais Pontins, est l’histoire d’un centre urbain unique, né comme laboratoire d’essai aussi bien politique que technique du régime fasciste, fruit de l’imagination, de la créativité et de la vision futuriste de ses quatre jeunes chefs de projet (Gino Cancellotti, Eugenio Montuori, Alfredo Scalpelli et Luigi Piccinato) et devenu l’expression d’une conception architecturale qui voulait une ville à dimension de l’homme et de l’environnement.

Laura Brizi est professeur d’Italien.


Conférence de Monsieur Roland de Lary : Bucintoro, la galère des doges de Venise va renaître. Athénée Municipal de Bordeaux, le 16 octobre à 19h00.


→ Monsieur de Lary est directeur du Centre Régional de la Propriété Forestière d’Aquitaine.

En 1798 le Bucintoro, préstigieuse galère de la République de Vénise, était détruite par les troupes de Napoléon après la conquête de la Serenissima. Depuis, plusieurs projets de reconstrution ont été présentés mais c’est en 2004, avec la “Fondation Bucintoro” que le rêve de voir un jour rennaître le navire semble se concrétiser. La France, pour l’occasion, a offert le bois des chènes les plus beaux de la Dordogne pour la réalisation de la quille. L’occasion de s’excuser du tort subi mais surtout pour sceller une amitié vieille de plusieurs siècles.

 


Programme 2013/2014


10 octobre, conférence de Stefania Graziano, “Les Dolomites, patrimoine mondial de l’UNESCO”. Athénée municipal de Bordeaux, 18h30.


Chaine de montagne des Alpes italiennes, les Dolomites sont inscrites au Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2009. Artistes et écrivains du monde entier ont chanté leur extraordinaire beauté à travers de nombreuses oeuvres et aujourd’hui, elles continuent d’être source d’inspiration. Mais d’où vient cette forme si particulière qui les rend uniques? Ont-elles toujours été comme nous les voyons aujourd’hui? Voila ce que nous allons essayer de comprendre en remontant dans le temps géologique.

Enseignante d’italien et de FLE en France depuis 16 ans, Stefania Graziano a fait des études de géologie en Italie avant de s’installer aux Etats Unis. A l’Université de Purdue, en Indiana, elle a fait deux ans de recherche sur le paléomagnetisme terrestre ce qui l’a amenée à réaliser un travail de magnetostratigraphie sur la limite Permian/Triassic des Dolomites occidentales.

 


Conférence de Lise Chapuis. “Au carrefour des langues. Quand l’Italien et le français se croisent”. Athénée Municipal de Bordeaux, jeudi 13 mars à 18h30.


Lise Chapuis est docteur en littérature française et comparée et italianiste. Elle est aujourd’hui responsable pédagogique à Médiaquitaine, centre de formation aux carrières des bibliothèques (Université Montesquieu Bordeaux IV). Elle est aussi traductrice d’Antonio Tabucchi.

 


Troisième conférence de Maurizio Sonnino. “La pierre italienne la plus connue au monde : le marbre de Carrare”. Athénée Municipal de Bordeaux, mardi 1er juillet à 18h30


Après ses études en géologie à l’Université de Turin, Maurizio Sonnino a travaillé pour plusieurs sociétés en Italie et à l’étranger (Espagne, Argentine, Mali, Ethiopie). Il a été professeur sous contrat et chercheur et, depuis 2008, il est Maître de Conférence en sédimentologie et géologie à l’Université de la Calabre.


Programme 2012/2013


18 décembre, conférence de Ingrid Raymond, guide-conférencière régionale VPAH. “Traverser Venise, la cité et ses ponts”. Salle Jacques Brel, Villenave d’Ornon, 18h30.


Une promenade iconographique et historique au fil des canaux vénitiens avec la présentation d’une sélection de ponts ayant des particularités à découvrir.

→ Ingrid Raymond est guide-conférencière régionale VPAH, dîplomée de l’Université de Bordeaux (histoire de l’art) et de Rome (mediazione culturale nei musei).

 


31 janvier, conférence de Lise Chapuis “Pinocchio et compagnie, un parcours à travers les classiques de la littérature italienne pour la jeunesse”, Athénée Municaple de Bordeaux, 18h30.


→ Lise Chapuis est docteur en littérature française et comparée et italianiste. Elle est aujourd’hui responsable pédagogique à Médiaquitaine, centre de formation aux carrières des bibliothèques (Université Montesquieu Bordeaux IV). Elle est aussi traductrice d’Antonio Tabucchi.

 


18 avril, conférence de Marc Agostino, “Rome, double capitale”, Athénée municipal, Bordeaux, 18h30-20h00.


Les événements de ce début 2013 mettent bien en valeur Rome et sa fonction de double capitale. Elections italiennes et grands enjeux politiques de l’Italie,renonciation de Benoît XVI et élection de François. Les deux rives du Tibre connaissent des moments importants pour l’Urbs, l’Italie et le monde. On peut constater que d’excellentes relations règnent entre les deux pouvoirs (ce qui n’empêche pas des débats internes à l’Italie), entre le Quirinal et le Vatican. Pourtant, Rome fut longtemps la capitale des Etats du pape et l’unité italienne s’est fait sur le thème de Rome capitale aux dépens du Pontife. L’évêque de Rome, successeur de Pierre pour les catholiques, et l’Etat italien ont mis 59 ans à trouver un modus vivendi aboutissant à la situation actuelle,très originale, inscrite dans l’espace romain et dans ses monuments. Cette conférence traitera de ce processus, de ses résultats aujourd’hui mais aussi de l’enracinement historique du double destin incomparable de la Ville .

Marc Agostino est historien, professeur d’histoire contemporaine à l’Université Michel de Montaigne Bordeaux 3.

 


16 mai, 18h30, conférence de Delphine Gachet, Carlo Goldoni : « le Monde et le Théâtre », à l’écomusée du vin et de la vigne à Gradignan.


Né en 1702 dans une Venise où triomphait la commedia dell’arte, Goldoni arrive assez tardivement au théâtre après avoir fait des études de droit et exercé différents métiers : en 1748, revenu dans sa ville natale, il se voit confier la direction du théâtre Sant’Angelo, qu’il quittera ensuite pour le théâtre San Luca. Mais sa vie de dramaturge à Venise, en dépit du succès que rencontrent ses pièces, est rendue difficile par la jalousie de certains autres hommes de théâtre : Pietro Chiari puis Carlo Gozzi. Car c’est à une véritable réforme du théâtre de son époque que vise Goldoni. En intitulant la préface à l’édition de son œuvre « le « monde » et le « théâtre » » (1750), il montre combien les deux sources auxquelles il puise son inspiration détermine sa conception novatrice du théâtre : « un harmonieux mélange entre observation du réel et connaissance des règles de la scène » (F. Decroisette). En 1762, il accepte la proposition de se rendre à la Comédie italienne à Paris : il y restera plus de trente ans, jusqu’à sa mort, en 1793, continuant à écrire (en français) et à représenter de nombreuses pièces. Auteur de plus de 200 œuvres (comédies, tragi-comédies, livrets, canevas,…) Goldoni est et reste un des grands noms du théâtre européen ; il est traduit en de très nombreuses langues et ses œuvres ne cessent d’être représentées sur scène.

Delphine Gachet est maître de conférences à l’Université Michel de Montaigne – Bordeaux III. Elle a soutenu une thèse de doctorat en littérature comparée sur les nouvelles fantastiques françaises et italiennes du XX° siècle.

 


Programme 2011/2012


Conférence gratuite de Delphine Gachet, Dino Buzzati : un homme, des œuvres… en collaboration avec la librairie La Machine à Lire, le 27 mars 2012 18h.


Delphine Gachet est maître de conférences à l’Université Michel de Montaigne – Bordeaux III. Elle a soutenu une thèse de doctorat en littérature comparée sur les nouvelles fantastiques françaises et italiennes du XX° siècle.

 


Conférence de Marc Agostino : l’Italie et la colonisation de 1860 à 1940 : utopie et réalités. 16 mars 2012, Athénée municipal, Bordeaux, 18h30-20h00.


L’Italie, unifiée en 1860 -1870, arrive tard dans la course aux colonies.Les questions de l’irrédentisme avec Trente et Trieste marquent sa politique étrangère. Mais son intérêt se porte vite sur l’outre mer, surtout après l’occupation de la Tunisie par la France.Elle se constitue alors un empire en Afrique orientale et en Libye avant 1914.C’est un exutoire du nationalisme et ,pour certains,une solution à l’émigration .Elle échoue cependant en Ethiopie et c’est ce qui conduit Mussolini à la guerre de 1935 pour venger la défaite d’Adoua de 1896,traumatisme national.Cette conférence montrera l’importance
capitale de ce thème et l’essai de colonisation des territoires conquis : Libye,Erythrée, Somalie et même Ethiopie.

→ Marc Agostino est historien, professeur d’histoire contemporaine à l’Université Michel de Montaigne Bordeaux 3.

 


Conférence de Stefania Graziano. La tarentelle, entre histoire et tradition. 12 janvier 2012, 19h00, salle Jacques Brel, Villenave d’Ornon.



Conférence de Jacques de Saint-Victor autour de son roman “Le Roman de l’Italie insolite”.
9 décembre 2011, 18h30, Athénée Municipale de Bordeaux.


La quatrième de couverte du livre présente à merveille l’esprit de cette oeuvre : “Il existe une Italie magique, nocture et pleine d’enchantements, qui se superpose à l’Italie classique”, disait un grand historien de l’art. C’est cette italie là, hors des circuits touristiques, au contact de ses vérités anciennes et de son âme méconnue que ce Roman de l’Italie insolite entend évoquer : une terre mystérieuse, monde de démesure sans scrupules, ses condottieri, ses princes sanguinaires ou ses amants jaloux.

Jacques de Saint Victor est professeur, historien et journaliste (sa biographie).

Conférence organisée en collaboration avec la librairie La Machine à Lire.

 


Conférence “Du paysage à la géologie de l’Italie” par Maurizio Sonnino. Mardi 22 novembre à 18h30 à l’Athénée Municipale de Bordeaux.


Quand on parle de paysage, d’habitude on pense aux aspects anthropologiques, à la végétation que le caracterise ou à sa morphologie par exemple. Or, cela est bien plus complexe. Ce qu’on admire dans un paysage est en effet la combinaison de plusieurs facteurs, controlés et générés par des phénomènes géologiques. La géologie fixe toujours les conditions de départ.

L’Italie est un des pays les plus complexes d’un point de vue géologique et nous allons voir pourquoi. Notre promenade débutera dans les Alpes, nous traverserons ensuite ce bassin sédimentaire qu’est la plaine du Po et arriverons sur les Apenins, épine dorsale de la péninsule. Et sans nous en apercevoir, nous traverserons tout le pays jusqu’à l’Arco Calabro Peloritano, sans oublier de faire un petit détour dans les Pouilles, un petit bout d’Afrique en Italie.

Après ses études en géologie à l’Université de Turin, Maurizio Sonnino a travaillé pour plusieurs sociétés en Italie et à l’étranger (Espagne, Argentine, Mali, Ethiopie). Il a été professeur sous contrat et chercheur et, depuis 2008, il est Maître de Conférence en sédimentologie et géologie à l’Université de la Calabre.

 


Programme 2010/2011


Quatrième conférence/concert autour de la musique et de la vie de Giuseppe Verdi, mardi 31 mai 2011, 19h30, salle Jacques Brel, Villenave d’Ornon.


Pour cette dernière conférence de l’année, place à la musique. Et quelle musique, celle de Giuseppe Verdi ! Richard Rimbert, première clarinette solo de l’ONBA et professeur au conservatoire, nous fait l’amitié d’interpréter deux pièces de fantaisie sur les airs de La Traviata et Rigoletto. Au travers des lectures de Stefania Graziano, nous plongerons dans la vie Giuseppe Verdi, son oeuvre, ses inspirations, le XIXème siècle. Pour finir, un jeune trompettiste, Andrea, interprètera quelques courts extraits de l’oeuvre de Rossini. Nous conclurons cette soirée par un apéritif.

— Soirée réservée aux seuls membres de l’association, entrée gratuite —

 


Troisième conférence : Firenze ed i Medici. Splendore e decadenza di una famiglia par Maurizio Morgante. Jeudi 10 mars 2011 à 19h00, salle Jacques Brel à Villenave d’Ornon. Conférence en italien


Florence est liée aux Médicis, les Médicis sont liés à Florence. Deux destins qui ont donné vie à une période merveilleuse, lumineuse : la Renaissance. Splendeur et décadence d’une famille aux facettes des plus connues aux moins connues

Professeur d’italien à l’université du Temps Libre de Bordeaux, Maurizio Morgante est un toscan qui vit en France depuis plusieurs années.

A la fin de la conférence une dégustation-vente de produits de la gastronomie toscane sera organisée par la “Maison de Toscane”.

 


Deuxième conférence : La centrale Montemartini à Rome par Ingrid Raymond. Jeudi 20 janvier 2011 à 19h30 salle Jacques Brel à Villenave d’Ornon.


Lieu d’exposition atypique, la Centrale Montemartini fait partie du réseau des “Musei nel Comune di Roma”. C’est ici la rencontre entre l’archéologie industrielle et l’archéologie antique, puisque en 2005 cette ancienne centrale thermoélectrique est désignée comme siège permanent d’une partie des collections des musées Capitolins. Cette conférence s’articule autour de 4 points :

Histoire du monument, contexte historique du pays
Présentation de la muséographie du lieu
Présentation des oeuvres exposées
Projets futurs pour le lieu

Ingrid Raymond est dîplomée de l’Université de Bordeaux (histoire de l’art) et de Rome (mediazione culturale nei musei).

 


Première conférence : L’Emigration italienne du XIX siècle à nos jours par Stefania Graziano. Jeudi 14 octobre 2010 à 19h00 salle Daguin, Villenave d’Ornon.


La conférence proposera de parcourir l’histoire de l’émigration italienne. Au delà d’une présentation classique de ce sujet, des témoignages seront lus, des extraits de documentaires présentés.